Des scientifiques des laboratoires « Molécules de communication et adaptation des micro-organismes » et « Origine, structure et évolution de la biodiversité » (Muséum national d’Histoire naturelle/CNRS) viennent de mettre en évidence un langage chimique qui conférerait un avantage écologique aux champignons endophytes, au bénéfice de la plante-hôte, lorsqu’ils sont en compétition avec les champignons phytopathogènes. Cette étude ouvre de nouvelles perspectives dans la lutte contre les champignons producteurs de mycotoxines susceptibles de contaminer les aliments et les fourrages. Les résultats seront publiés cette semaine dans la revue .