Un ancien cadre du groupe pharmaceutique américain a déclaré à un journal chinois que la corruption et les pots-de-vin étaient fréquents chez Eli Lilly China, qui aurait utilisé plus de 30 millions de yuans (3,67 millions d'euros) pour corrompre des médecins chinois afin qu'ils prescrivent ses traitements. Après GlaxoSmithKline, Novartis et Sanofi, Eli Lilly est le quatrième groupe pharmaceutique étranger à faire l'objet ces dernières semaines de telles accusations