L'entreprise Spanghero, accusée d'avoir vendu de la viande ayant servi à fabriquer des plats préparés dans lesquelles on a retrouvé du cheval, assure avoir toujours agi dans le strict respect des réglementations européenne et française. De son côté, le Premier ministre roumain a mis hors de cause les abattoirs suspectés en Roumanie.