Le troisième jour du procès de l'affaire PIP, du nom de cette entreprise varoise ayant commercialisé des prothèses mammaires, a permis l'audience de Jean-Claude Mas, le fondateur du laboratoire et principal accusé dans ce dossier. L'un des cadres de l'entreprise jugés à Marseille pour "tromperie aggravée" a de son côté indiqué que tous les salariés de l'entreprise étaient au courant de l'existence d'un gel de silicone non homologué.