La France a ses pleureuses officielles, qui se mettent en action dès que le peuple tente de s’exprimer. On connaît le casting : les sportifs officiels, les artistes officiels, les journalistes officiels, les statisticiens officiels, les sociologues officiels, les cadres de Radio France et de France Télévisions, les francs-maçons, etc. tous s’y mettent de leur tirade pour convaincre le peuple de « bien voter ». On pourrait en rire de bon cœur si ce n’était un tel témoignage de déconnexion si profonde entre Paris et la France, entre les élites auto-proclamées et le peuple, entre eux et nous.
Mais ce n’est que la première étape de leur mode d’action. Il y a la suite… et elle n’est pas jolie.
Si, par le plus grand des hasards, le camp national obtient une large victoire, du genre quasi incontestable, alors les pleureuses laisseront la scène aux casseurs. Ne croyez pas un seul instant que la gauche, pétrie de son auto-suprémacisme, acceptera une seule seconde la voix incorrecte du peuple, ce peuple qui aura « si mal voté ». Vous pouvez alors vous attendre à de larges manifestations, des magasins pillés, des immeubles brûlés. C’est ça, le sens de la démocratie, à gauche…
Alors que faire ? Une seule chose : il faut que la victoire soit un raz-de-marée, comme on en fait peu en France. Il faut que la puissance des urnes cumulées soit comme un mur qui avance. Il faut que le peuple – le vrai – parle d’une seule voix, rendant tout autre discours caduque. Il faut que les gauches soient publiquement ridiculisées.
Ça fait 235 ans que les francs-maçons dictent la doxa. Ça fait 43 ans que la gauche a pris le pouvoir quasi total sur les médias et sur « ce qu’il faut penser ». Il serait peut-être temps que le peuple prenne la parole. Chiche ?