Depuis plusieurs années, les Français font moins d’enfants. Et les confinements n’ont rien arrangé, bien au contraire. Même le rebond de 2021 pourrait n’avoir été qu’une exception dans cette tendance à la baisse. Cela n’est pas sans conséquences économiques, d’abord pour les fabricants de nutrition infantile, dont le chiffre d’affaires n’augmente qu’artificiellement gonflé par l’inflation. Rien de tel en revanche dans l’hygiène bébé, portée par les innovations et la premiumisation (offre écologique notamment). Les distributeurs de puériculture, eux, doivent composer avec des parents très « infidèles » et de plus en plus tentés par l’occasion.