La robotisation, nouvelle assiette de cotisations retraites et durée humaine du labeur

La Clef des #retraites

La #robotisation, nouvelle assiette de cotisations retraites pour pérenniser le système sans allonger la durée humaine du labeur.

Il faut se préoccuper du remplacement des tâches humaines par la robotisation. Un métier sur deux a vocation à être remplacé, suivre l’évolution des systèmes humanoïdes, tant au Japon qu’aux USA, des porteurs charges lourdes animanoïdes, humanoïdes, jusqu’aux exosquelettes réduisant le coût main-d’œuvre.

D’évidence, la recherche des espaces-temps de travail reste incomplète. En effet il est très clair qu’il faut maintenant prendre en compte ces services complets d’assiettes de calcul des cotisations sociales, part employeur et ex-main d’œuvre, afin de rendre participative l’économie plutôt que de faire supporter 100% du coût (perte d’emploi et/ou non embauche) à la société.

Tous les employeurs concernés par la mécanisation de la main d’œuvre doivent être assujettis aux charges patronales et salariales calculées sur la base de la masse équivalente aux emplois remplacés et non-embauchés, pour pérenniser les budgets retraites et sociaux.

De fait le prolongement est déjà en présence ignorée, robotisée en pleine pyramide d’âge.
Il n’y a pas lieu d’augmenter la durée de cotisation retraite, elle échappe à tout, seul le peuple en subit les conséquences immédiates, à court et long terme, l’état croule sur les compensations unilatérales.

Le secteur de la robotique pesait environ 7,4 Mds de dollars en 2000, 15,1 Mds en 2010 et 25,7 Mds de dollars en 2018, soit un taux de croissance annuel moyen de 7, 2 % entre 2000 et 2018. Cette croissance devrait rester élevée et même s’accélérer au cours de la décennie. Le BCG estime ainsi que le marché total de la robotique pourrait atteindre près de 67Mds de dollars en 2025E (soit un TCAM de 14,6 %). Par ses fortes perspectives de croissance, le secteur de la robotique constitue une thématique boursière attractive et innovante sur le long terme.

 

Taille et évolution du marché de la robotique de 2000 à 2025

marché de la robotisation 2000 à 2025

Robotisation de la main d’œuvre ? La Bourse gagne.

youtube robitisation vs emploiL’État veut accélérer le remplacement de la main d’œuvre humaine par des robots, à commencer par celles qui emploient moins de 250 salariés, c’est à dire la majorité des PME qui créent habituellement plus de 90% des emplois en France.

Bruno Le Maire en soutien à l’investissement des PME industrielles dans la robotisation et la transformation digitale…

C’est le ministère de l’Économie, de l’Industrie et du Numérique qui l’annonçait en 2016 : un dispositif fiscal d’amortissement exceptionnel a été reconduit par la loi de finances 2016 pour les robots industriels acquis ou créés par les PME jusqu’au 31 2016. Objectif : inciter les PME de l’industrie manufacturière à s’équiper en robots « manipulateurs multi-applications reprogrammables ».

Le remplacement se poursuit.
Selon une étude de l’Université d’Oxford, cette révolution pourrait faire perdre leur emploi à près de 35% des travailleurs britanniques, et jusqu’à 50% aux États-Unis. ainsi donc, l’un des risques majeurs non maîtrisé de l’adoption des robots et des intelligences artificielles réside dans la concentration croissante de la main-d’œuvre avec la disparition progressive des emplois manuels voire intellectuels.

Des emplois remplacés par un robot = des cotisations non maintenues.

 

Quelques témoignages et observations sur YouTube


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Author: Rédaction