Par la mesure de 10 traits morphologiques sur plus de 9 000 espèces de poissons d’eau douce, une équipe de chercheurs du laboratoire Évolution et diversité biologique (EDB CNRS/IRD/UT3 Paul Sabatier) et du Centre pour la biodiversité marine, l’exploitation et la conservation (MARBEC CNRS/Univ. Montpellier/IRD/Ifremer) vient de montrer que près de 90 % de la diversité morphologique mondiale de ces poissons est supportée par moins de 5 % des espèces. Ces résultats publiés dans la revue parue le 16 novembre 2018 soulignent la nécessité de conserver non seulement les espèces déjà en danger, mais également de prêter attention aux espèces à morphologie extrême, car leur disparition pourrait affecter l’intégrité fonctionnelle des écosystèmes aquatiques.
Par la mesure de 10 traits morphologiques sur plus de 9 000 espèces de poissons d’eau douce, une équipe de chercheurs du laboratoire Évolution et diversité biologique (EDB CNRS/IRD/UT3 Paul Sabatier) et du Centre pour la biodiversité marine, l’exploitation et la conservation (MARBEC CNRS/Univ. Montpellier/IRD/Ifremer) vient de montrer que près de 90 % de la diversité morphologique mondiale de ces poissons est supportée par moins de 5 % des espèces. Ces résultats publiés dans la revue parue le 16 novembre 2018 soulignent la nécessité de conserver non seulement les espèces déjà en danger, mais également de prêter attention aux espèces à morphologie extrême, car leur disparition pourrait affecter l’intégrité fonctionnelle des écosystèmes aquatiques.