Avec 6000 manifestants à Paris et 4000 à Toulouse selon les organisateurs, la CGPME pouvait considérer qu’elle avait réussi son coup, lundi 1er décembre. Les manifestants, peu habitués à l’exercice, protestaient contre les taxes et la réglementation et réclamaient notamment la suspension du compte pénibilité et des articles sur l’information des salariés en cas de cession d’entreprise.