Le toujours très énervé communiste Ian Brossat a publié une nouvelle perle sur X (ex-Twitter). Il s’y offusque d’une prière organisée dans le VIIe arrondissement de Paris. Lisez plutôt :
Cher [Bruno Retailleau], 250 personnes organisaient une prière de rue dans le 7e ce lundi.
Leur objectif : « réparer le blasphème » prétendument commis lors de la cérémonie des JO.
Le blasphème n’existe pas et les prières de rue sont interdites.
Allez-vous remettre de l’ordre ?
Qu’en ancien prof de français ne sache pas faire la différence entre le « délit de blasphème » qui n’existe plus en effet en France, et le blasphème lui-même, c’est assez inquiétant pour les élèves qui « bénéficièrent » de ses enseignements.
Qu’un sénateur passe du temps et de l’énergie à s’attaquer à la présence sur la voie publique d’un groupe de 250 catholiques en dit long sur l’utilité du personnage.
Mais il y a pire. Dans la missive qu’il envoie au ministre de l’intérieur, il compare allègrement ces catholiques-ci avec les frères Kouachi, qui massacrèrent la rédaction de Charlie Hebdo.
Il oppose « la possibilité [pour chaque citoyen] d’exprimer une opinion critique à propos d’une religion » à « ceux qui n’ont que la haine et la violence à offrir pour réprimer ce droit fondamental »… s’agissant ici de catholiques qui prient !
Les naïfs qui avaient pu croire que le communisme français était une version plus douce de l’horreur qui s’est abattue sur tout l’Est de l’Europe et tant d’autres pays martyrs feraient bien de réviser leur jugement.
Rappelons que c’est le même Ian Brossat qui a un jour exprimé le souhait de remplacer la basilique du Sacré-Cœur (« un symbole que je n’aime pas ») par un « espace dédié à la solidarité ».
Voici la lettre de la honte :
Gageons que Bruno Retailleau saura comment classer ce courrier : verticalement.
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