Avec ses 15 années d’expérience dans le domaine, l’IFPEN s’impose comme partenaire en participant à des projets nationaux et internationaux d’envergure.

Dans un article publié sur son site, l’institut révèle que la direction générale de l’énergie et du climat (DGEC) lui a confié ce mois-ci la coordination d’une étude de synthèse. Il s’agit d’identifier les zones à fort potentiel d’hydrogène natif sur le territoire français, de définir les méthodes possibles de production et de favoriser le développement de la filière. L’étude implique les équipes de l’IFPEN ainsi qu’une dizaine d’experts académiques français.

Par ailleurs, l’IFPEN prend également la tête de la « Natural Hydrogen Task » initiée par le TCP H2 (Technology Collaboration Programme Hydrogen) de l’Agence internationale de l’énergie (AIE). Pendant deux ans, et faisant intervenir 31 experts académiques et industriels issus de 16 pays, le groupe de travail vise à sensibiliser sur l’état de la recherche et de l’exploration industrielle de cette nouvelle source d’énergie en couvrant l’ensemble des aspects scientifiques, techniques, économiques, légaux et environnementaux. L’institut sera représenté par Olivier Sissmann, un chercheur IFPEN en géochimie qui étudie l’hydrogène naturel, ses mécanismes de formation et son stockage géologique depuis plus de 10 ans.

Avec ses 15 années d’expérience dans le domaine, l’IFPEN s’impose comme partenaire en participant à des projets nationaux et internationaux d’envergure.

Dans un article publié sur son site, l’institut révèle que la direction générale de l’énergie et du climat (DGEC) lui a confié ce mois-ci la coordination d’une étude de synthèse. Il s’agit d’identifier les zones à fort potentiel d’hydrogène natif sur le territoire français, de définir les méthodes possibles de production et de favoriser le développement de la filière. L’étude implique les équipes de l’IFPEN ainsi qu’une dizaine d’experts académiques français.

Par ailleurs, l’IFPEN prend également la tête de la « Natural Hydrogen Task » initiée par le TCP H2 (Technology Collaboration Programme Hydrogen) de l’Agence internationale de l’énergie (AIE). Pendant deux ans, et faisant intervenir 31 experts académiques et industriels issus de 16 pays, le groupe de travail vise à sensibiliser sur l’état de la recherche et de l’exploration industrielle de cette nouvelle source d’énergie en couvrant l’ensemble des aspects scientifiques, techniques, économiques, légaux et environnementaux. L’institut sera représenté par Olivier Sissmann, un chercheur IFPEN en géochimie qui étudie l’hydrogène naturel, ses mécanismes de formation et son stockage géologique depuis plus de 10 ans.