Vous ne connaissez pas Gwenola Ricordeau. Pourtant, vous payez ou avez payé une partie de ses émoluments, puisqu’elle est membre du conseil scientifique de l’Institut des Amériques, institut financé par le Ministère de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche.
Gwenola Ricordeau est sociologue, « militante féministe et abolitionniste ». Elle a dirigé le livret collectif « 1312 raisons d’abolir la police » – le chiffre 1312 renvoyant à l’acronyme ACAB – All Cops Are Bastards.
Le jour même du massacre commis par les ordures putrides du Hamas sur des populations civiles en Israël, elle publiait ça :
Dans quel monde ne se retrouve-t-on pas derrière les barreaux pour apologie du terrorisme après une telle publication ? Probablement dans notre monde, dans lequel être de gauche fait qu’on vous pardonne tout.
Malheureusement, l’impunité invite à la répétition du crime.
Réagissant à la mort de deux de nos jeunes héros de l’Air – deux pilotes, un instructeur et son élève, le capitaine Sébastien Mabire, 36 ans, et le lieutenant Matthis Laurens, 29 ans, morts mercredi lors de la collision entre deux avions Rafale – cette femme, vraisemblablement dénuée de toute humanité, a publié ce 15 août le tweet le plus ignoble, monstrueux, qu’aucun être humain normalement constitué ne serait capable d’écrire.
Rappelons à nos lecteurs qui ne pratiquent pas encore tout à fait la langue arabe que « Cheh » signifie « Bien fait pour ta g*eule ».
Après avoir publié cette immondice, l’universitaire a préféré fermer l’accès public à ses tweets.
Se réjouir de la mort d’être humains, c’est déjà une horreur.
Se réjouir de la mort de gamins, c’est le niveau 2 dans l’ignominie.
Se réjouis de la mort de gamins français, c’est le niveau 3 dans l’infamie.
Mais se réjouir de la mort de gamins français qui ont donné leur vie pour servir la nation, ça devrait valoir à son auteur l’indignité nationale, et, si l’État se respectait, quelques bonnes années de prison.
Mais Gwenola Ricordeau est de gauche. Et tout lui sera donc pardonné.
C’est ainsi, tous ces abus aidant, qu’un jour peut-être le Peuple de France sera-t-il fatigué qu’on pardonne « en son nom » l’impardonnable.
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