General Electric veut partiellement fermer les vannes de ses activités hydrauliques à Grenoble

345 emplois pourraient être supprimés chez GE Hydro à Grenoble (Isère). Cette filiale du groupe américain General Electric, issue de la reprise des activités hydrauliques d’Alstom en 2015, compte actuellement 800 postes.

Douche froide pour les 800 salariés de GE Hydro à Grenoble (Isère), le fabricant de turbines hydrauliques repris en 2015 par le groupe américain General Electric (GE). Dans un courrier, la direction leur a annoncé un plan de restructuration et des suppressions d’emploi, « à partir de septembre ». 345 postes seraient sur la sellette.

Des discussions ont été ouvertes le 4 juillet 2017 avec l’Instance de représentation des salariés au niveau européen. Elles portent sur des « propositions visant à faire évoluer l’activité hydroélectricité de GE ».

D’autres réunions sont prévues avec les délégués du personnel de la division Hydro France vendredi 7 juillet 2017. « Cette étape est nécessaire pour mieux positionner notre activité et réussir dans un marché extrêmement concurrentiel », estime la direction qui reconnaît, dans un document que s’est procuré Le Parisien, « avoir échoué à atteindre les objectifs financiers, notamment en raison d’une structure de coûts excessivement élevée ». […] […] 

Author: Redaction