La banque de financement de PSA bénéficiera d'une garantie de l'Etat de 7 milliards d'euros sur trois ans. En contrepartie et pendant cette période, le constructeur va devoir renoncer à verser dividendes et stock-options. L'Etat fera en outre son entrée au conseil de surveillance et pourra ainsi faire entendre sa voix sur les choix stratégiques et sociaux du groupe. En revanche, aucune garantie n'a été obtenue en termes de réduction du nombre d'emplois supprimés.