Alors que l'appel d'offre pour les éoliennes offshore s'est clôturé mercredi 11 janvier, la filiale française de l’électricien portugais a d'ores et déjà annoncé qu'elle n'y participerait pas. Le 3ème opérateur mondial en éolien terrestre avait pourtant une carte à jouer. Se méfie-t-il, comme la fédération allemande des machines-outils, d’un éventuel favoritisme ? Frédéric Lanoë, directeur de la filiale française d’EDPR, fait le point avec L’Usine Nouvelle.