Le groupe, qui vient de rendre 7 000 pages d'études sur la sûreté de ses centrales à l'Autorité de sureté nucléaire (ASN), décline les premières mesures pour accroître la sûreté de son parc nucléaire. La principale leçon tirée de Fukushima a été notamment l'impossibilité de réactiver le refroidissement des réacteurs.