L’écrevisse n’a rien à nous envier, à nous autres vertébrés. Comme nous, elle fait des crises d’anxiété, et une dose de benzodiazépine lui redonne sa sérénité coutumière. Par contre, son cerveau est plus simple, ce qui en fait un modèle animal intéressant pour étudier les mécanismes neuronaux du stress.