Des chercheurs de l'Université Paris Descartes, du CNRS, de l'Inserm, de l'Université Paris‐Est Créteil (UPEC) et de l'AP‐HP ont montré que l'analyse de modifications épigénétiques pourrait être utilisée comme marqueur universel pour le suivi de l'ADN tumoral circulant dans le sang des patients atteints de cancer colorectal. Cette étude repose sur l'analyse de l'hyperméthylation de deux gènes (WIF1 et NPY) par une méthode d'avant‐garde : la PCR digitale en microgouttelettes. Ces résultats sont parus le 1 juin 2016 dans la revue .