A l’heure où les ventes de drive frôlent de nouveaux records avec 1,77 milliard d’euros de chiffre d’affaires engrangés depuis le début de l’année, certains esprits chagrins accusent ce circuit de grever les ventes en non-alimentaire, bastion des achats d’impulsion. Mais au fait, pourquoi n’achèterions-nous pas jouets, petites robes, cafetières et autres babioles en drive ?
Relais de brèves