Une méthode inédite d’analyse géochimique d’ufs fossilisés provenant de Chine a montré que les oviraptorosaures couvaient leurs ufs avec leurs corps, à l’instar des oiseaux d’aujourd’hui, et en les maintenant à une température comprise entre 35°C et 40°C. Ce résultat est le fruit d’une collaboration franco-chinoise coordonnée par Romain Amiot du Laboratoire de géologie de Lyon : Terre, planètes et environnement (CNRS/ENS de Lyon/Université Claude Bernard Lyon 1). L’article est publié dans la revue disponible en ligne le 28 juin 2017.