C'est l'histoire d'un ingénieriste français en visite en Chine. Ce fournisseur des grands industriels français présente son portefeuille, parle de Renault, de Peugeot à son interlocuteur, puis cite Airbus. Là, le visage du Chinois s'anime enfin. Il reprend au bond : "Airbus ? I know. It's a good german plane !". Les propos d'un Chinois ignorant ? On pourrait se le dire pour se rassurer. Mais pour ce patron français, cette anecdote révèle la manière dont l'avion franco-allemand est perçu sur le reste de la planète : un produit de facture essentiellement […]