Pour la première fois, la dégradation des ciments au fil du temps a été traduite par des chercheurs du Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (LSCE, CEA/CNRS/UVSQ) en termes d'absorption de CO. C'est un nouveau puits de carbone important, en croissance rapide, qui doit désormais être pris en compte.
Les équipes du LSCE ont également mené une analyse de différentes données à l'échelle globale qui a conduit à une estimation du rôle de la végétation et des sols dans la régulation du CO atmosphérique près de deux fois plus précise que précédemment.