1. Le label s'appuie sur deux principes novateurs :
• le concept de part verte des activités des entreprises,
• la mesure de l'impact environnemental de ces activités.
2. Le label « Transition énergétique et écologique » exige :
• un investissement important des fonds labellisés dans les entreprises et projets relevant de la transition énergétique et écologique,
• une mesure de l'empreinte environnementale réelle du portefeuille, par le biais d'indicateurs d'impacts dans les domaines du changement climatique, de l'eau, des ressources naturelles et de la biodiversité,
• une gestion active de tout risque majeur de controverse environnementale, sociale ou de gouvernance.
3. C'est un outil essentiel pour :
• identifier les fonds d'investissement qui financent l'économie verte,
• inciter à la création de nouveaux fonds verts,
• faciliter le reporting des entreprises sur la part verte de leurs activités.
4. Mise en œuvre :
• l'élaboration de ce label a été lancée à l'issue de la conférence bancaire et financière de juin 2014, en complément du label ISR (Investissement Socialement Responsable),
• une longue période de concertation a permis de co-construire ce label avec l'ensemble des parties prenantes concernées,
• Ségolène Royal met aujourd'hui en consultation les textes réglementaires et le référentiel du label, jusqu'au 7 octobre 2015,
• la sélection des auditeurs/labellisateurs se fera en novembre, pour que les premiers fonds puissent être labellisés durant la COP21.
☛ Lire la suite sur le site du Ministère du Développement Durable, peut-être non effacé ...