La mesure annoncée hier d’une hausse de 1 centime du prix du diesel par le Premier ministre Manuel Valls s’ajoute à la hausse de la taxe carbone, qui s'applique également le 1er janvier. Les deux mesures devraient coûter 1,5 milliard d’euros au consommateurs ou transporteurs. On est loin de la politique de fiscalité non punitive prônée par Ségolène Royal, et de la stabilité fiscale.