Des anomalies sur la cuve de l’EPR de Flamanville ont été mesurées dès 2006. Pourtant ce n’est qu’en 2015 que la solidité de cette pièce clé du réacteur nucléaire est interrogée. De son côté, Areva se justifie de toute volonté de dissimuné en indiquant que toutes les informations ont été transmises dans les temps.