Anthony Giron faisait partie d'une réunion qui s'est tenue cette semaine avec les patrons des enseignes de centre-ville. Autour de la table : des représentants de la Fnac, de Jardiland, du groupe Beaumanoir ou encore de Vivarte. Il donne à LSA son point de vue sur les conséquences économiques des attentats du 13 novembre.
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