Une collaboration internationale à laquelle ont participé des chercheurs de l'Institut de biologie structurale (IBS CEA/CNRS/UJF), de l'Institut Laue Langevin et du Laboratoire des matériaux et du génie physique (LMGP CNRS/Grenoble INP), a mis en évidence que le mouvement des molécules d'eau pourrait constituer un marqueur indirect de la présence de fibres amyloïdes tau. Ces fibres sont directement impliquées dans le développement de la maladie d'Alzheimer et leur détection pourrait ainsi permettre un diagnostic précoce de la maladie. Ces résultats font l'objet d'une publication dans le 27/04/2015.