En décembre 2015, la Cour d’appel de Paris a, de nouveau, statué sur le fond de l’affaire Tapie, jugeant finalement que la SDBO, filiale du Crédit lyonnais, n’avait pas commis de faute et ne devait rien à Bernard Tapie, qui a donc été condamné à restituer les 405 millions d’euros reçus (CA Paris, 3/12/2015). Quelles leçons en tirer pour les entreprises ?