Affaire Chimirec : l’entreprise précise sa ligne de défense

Le procès de l'entreprise Chimirec, soupçonnée de fraudes sur l'élimination d'huiles polluées aux polychlorobiphényles (PCB) entre 2000 et 2006, a été renvoyé dès son ouverture le 14 mai. Le tribunal correctionnel de Paris juge recevable une question prioritaire de constitutionnalité (QPC) déposée par la défense. Pour L'Usine Nouvelle, Jean-Marc Rieger, le directeur général du spécialiste de la collecte et de la valorisation des déchets industriels dangereux et Maître Xavier Flécheux, l'avocat de l'entreprise, reviennent sur cette affaire. Selon eux, elle s'explique par des divergences d'interprétation sur les arrêtés d'exploitation.

Author: Redaction