L'accord de compétitivité qui sera signé chez Renault ce 13 mars va l'être par des syndicats représentant 2 employés sur 3 au sein du constructeur automobile français. Une satisfaction pour son PDG Carlos Ghosn, qui évoque un "rassemblement consensuel" et "une forte adhésion" autour de l'accord dans une interview accordée aux Echos.