Il existe une phrase récurrente dans les sphères du pouvoir concernant l’ensauvagement de la société et le taux de violence en France : « Si le peuple connaissait la vérité, Marine Le Pen serait élue à la majorité absolue dès le premier tour ».
Cette phrase, évidemment beaucoup entendue dans les couloirs de l’Intérieur, est à double sens. D’un côté, elle confirme ce que chacun subodore : la France est à feu et à sang. Mais d’un autre, elle révèle au grand jour ce que chacun avait aussi deviné : éviter l’élection de Marine Le Pen à l’Élysée est une obsession au sein de l’exécutif, qui acceptera de mentir, de cacher, de truquer, pour parvenir à maintenir la candidate du RN le plus loin possible du 55 rue du Faubourg Saint-Honoré.
Conséquemment, le contrôle des organes de presse est une nécessité pour l’exécutif. Seul le minimum doit transparaître, et l’on prendra soin de garder l’étendue des dégâts loin des yeux et des oreilles du peuple. Sauf que… cette stratégie fonctionne de moins en moins. Depuis le milieu des années 90, Internet s’est glissé dans les foyers. Et depuis 2010 environ, il y est devenu l’une des principales sources d’information. Pour le pire parfois, mais pour le meilleur souvent.
C’est ainsi que les Français ont commencé à entrevoir la réalité. Celle qu’on voulait tant leur cacher.
Ces dernières semaines, l’horreur s’est accélérée. Certains jours, il n’est pas encore midi quand les assassinats au couteau se sont déjà multipliés, un peu partout en France. Plus un coin de l’hexagone n’est épargné. Plus un Français – et a fortiori une Française – ne peut dire sans mentir « J’ai la certitude d’être en sécurité ».
Or, s’ils voulaient tant brider l’information, c’est bien qu’elle a une valeur inestimable dans le plan de réveil des peuples. C’est pour cette raison que furent créés La Lettre Patriote et d’autres organes de presse libre. Il ne nous reste plus qu’à croître. Pour qu’enfin, chaque Français… sache !