Un clandestin guinéen se masturbe près d’une école maternelle puis au commissariat

Nos confrères du Parisien ont déniché une histoire incroyable :

« Je veux voir vos mains en permanence devant ! » Cette injonction, la présidente du tribunal correctionnel d’Évry-Courcouronnes (Essonne) va la répéter au moins une dizaine de fois lors de l’audience, ce mercredi. Il faut dire que le prévenu, âgé de 19 ans, jugé pour exhibition sexuelle, a une fâcheuse tendance à fourrer ses mains là où il ne devrait pas, en public et notamment face à des femmes.

Amara D. est interpellé par la police municipale, puis remis à la police nationale. Le lendemain, il est auditionné par une policière. Mais là encore, il plonge sa main dans son pantalon et recommence. Puis avec une autre fonctionnaire de police. Au total, quatre femmes ont porté plainte contre lui. « Pourquoi vous touchez-vous le sexe en présence de femmes ? » l’interroge la présidente. « J’ai fait ça comme ça, pas pour… » répond le prévenu via son interprète.

Quand l’enquêtrice de personnalité s’est présentée devant lui, il s’est à nouveau masturbé, ce qui a mis fin à l’entretien, constate dépitée la présidente du tribunal.

La présidente l’a mis en garde, lui expliquant bien qu’en cas de récidive, ce serait la prison. Et en lui conseillant de prendre rendez-vous avec son ambassade pour rentrer en Guinée, l’homme faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).

À l’audience, il n’en dira pas plus. Mais l’avocat des deux policières rappelle qu’en audition, il a expliqué « faire ça car il a envie de faire l’amour à des femmes. Et quand on lui demande comment l’aider, sa réponse est : en lui donnant une femme ».

Author: Redaction

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Un clandestin guinéen se masturbe près d’une école maternelle puis au commissariat

Nos confrères du Parisien ont déniché une histoire incroyable :

« Je veux voir vos mains en permanence devant ! » Cette injonction, la présidente du tribunal correctionnel d’Évry-Courcouronnes (Essonne) va la répéter au moins une dizaine de fois lors de l’audience, ce mercredi. Il faut dire que le prévenu, âgé de 19 ans, jugé pour exhibition sexuelle, a une fâcheuse tendance à fourrer ses mains là où il ne devrait pas, en public et notamment face à des femmes.

Amara D. est interpellé par la police municipale, puis remis à la police nationale. Le lendemain, il est auditionné par une policière. Mais là encore, il plonge sa main dans son pantalon et recommence. Puis avec une autre fonctionnaire de police. Au total, quatre femmes ont porté plainte contre lui. « Pourquoi vous touchez-vous le sexe en présence de femmes ? » l’interroge la présidente. « J’ai fait ça comme ça, pas pour… » répond le prévenu via son interprète.

Quand l’enquêtrice de personnalité s’est présentée devant lui, il s’est à nouveau masturbé, ce qui a mis fin à l’entretien, constate dépitée la présidente du tribunal.

La présidente l’a mis en garde, lui expliquant bien qu’en cas de récidive, ce serait la prison. Et en lui conseillant de prendre rendez-vous avec son ambassade pour rentrer en Guinée, l’homme faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF).

À l’audience, il n’en dira pas plus. Mais l’avocat des deux policières rappelle qu’en audition, il a expliqué « faire ça car il a envie de faire l’amour à des femmes. Et quand on lui demande comment l’aider, sa réponse est : en lui donnant une femme ».

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