Dans la cellule, les oscillations de taille de fibres naturelles telles que les microtubules ou les filaments d’actine du cytosquelette sont contrôlées par la « combustion » de carburants chimiques. Des chercheurs de l’Institut de science et d’ingénierie supramoléculaire de Strasbourg (CNRS/Unistra) ont découvert un phénomène similaire dans un système complètement artificiel. De tels systèmes auto-oscillants synthétiques semblables au vivant pourront avoir des applications nombreuses en science des matériaux, en médecine et en robotique molle. Ces résultats sont publiés dans .