Des chercheurs du laboratoire Géosciences environnement Toulouse (GET/OMP CNRS/IRD/CNES/UT3 Paul Sabatier) et de l’Instituto de Astronomia, Geofísica e Ciências Atmosféricas (IAG) de l’Université de São Paulo viennent de démontrer que la composition isotopique en oxygène des océans néoprotérozoïques (ici environ 760 million d’années) était similaire à celle des océans actuels. Ce résultat combiné aux paléo-thermomètres existants confirmerait l’hypothèse que les océans anciens étaient plus chauds qu’actuellement. Cette étude est publiée dans la revue , le 13 avril 2018.