Pour leur survie, les parasites responsables du paludisme et de la toxoplasmose dépendent de mécanismes hérités du monde végétal. C’est ce que vient de montrer une équipe de chercheurs du CNRS (Institute for Advanced Biosciences, CNRS/Inserm/ Université Grenoble Alpes) et de l’université de Melbourne, qui publient deux études dans les revues et . Cette découverte représente une avancée majeure pour le développement de nouvelles cibles thérapeutiques contre ces parasites aux conséquences majeures en santé publique.