Trente ans après la catastrophe nucléaire, la zone d’exclusion autour de la centrale est une immense jachère figée dans le temps. L’arche géante qui abritera le premier sarcophage érigé dans l’urgence doit être installée en novembre.
Deux cents salariés en uniforme bleu marine attendent sagement leur tour pour recevoir leur briefing hebdomadaire. Derrière eux, des vitraux […] Lire la suite de l'article