Dun côté, le modèle allemand, avec 7 % des moins de 25 ans au chômage (4,5 % pour l’ensemble des actifs), mais des salaires plus faibles au démarrage et un plus grand recours au temps partiel. Des chiffres partagés, ou à peu près, par les États-Unis, la Suisse ou le Royaume-Uni. De l’autre côté, le système français, quasiment unique au monde, avec 24 % de jeunes au chômage, […] Lire la suite de l’article