L’ETI française vient de casser sa tirelire pour s’offrir les droits sur un anticancéreux. Et se rêve une destinée américaine, tout en se cherchant un nouveau numéro 2 pour remplacer Christel Bories.
Ses médicaments de "spécialité" (Somatuline dans les tumeurs neuroendocrines ; Dysport, le concurrent du Botox ; et Decapeptyl contre le cancer de la prostate) lui ont permis […] Lire la suite de l’article