Avec leurs nanocapteurs, les chercheurs du Laboratoire de Physique de la matière vivante (EPFL, Suisse) ont montré qu’ils pouvaient mesurer les infimes vibrations produites par une bactérie, une levure ou une cellule. Ils proposent de les utiliser pour rechercher des signes de la présence de la vie sur des planètes. Et pour tester de nouveaux médicaments.