Pour Frédéric Fréry, professeur de stratégie à l’ESCP, l’Etat américain a sauvé GM en 2009 mais l’a surtout forcé à se restructurer. La vente des parts de l’Administration Obama, lundi 9 décembre, va cependant redonner les coudées franches à la direction du groupe, qui vient de nommer à la tête du groupe Mary Bara, ex vice-présidente du développement mondial des produits.