Vers 1930, les ouvriers de Changhai logeaient dans des conditions disparates mais précaires, ne subsistant qu’à l’aide d’emprunts, source de dépendance et d’usure. Avec la féminisation de la main d’œuvre du textile, le système d’embauche contrôlé par des entrepreneurs mafieux s’apparenta très vite à une certaine forme de servage moderne.