« Le chef a un ‘permis de tuer’ au bénéfice de sa collectivité », estime Guillaume Bigot, essayiste

Economiste, Guillaume Bigot est auteur de la trahison des chefs (Editions Fayard), un essai où il regrette un recul de l’autorité, notamment dans l’entreprise. Il pointe les dérivés d’un libéralisme débridé qui détruirait l’idée d’un intérêt général. L’avenir passe par un retour des chefs qui se substitueraient aux managers. Une analyse dérangeante, donc stimulante.

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Author: Redaction