S’il n’en reste qu’un, ce sera lui. Ou plutôt eux deux. Dans le débat stérile opposant croissance et austérité en Europe, le numéro un britannique, David Cameron, et le chancelier de l’Échiquier, George Osborne, ont choisi leur camp. Depuis leur arrivée au pouvoir en mai 2010, ces duettistes conservateurs n’ont pas plus dévié de leur ligne d’extrême rigueur que Churchill ne faiblît sous les bombes. À la différence de tant d’autres en Europe, ils assument !
Pour ceux qui en douteraient, David Cameron a remis les choses au clair à quelques jours de la présentation du budget par George Osborne, le 20 mars. Vincent Cable, secrétaire d’État à l’Économie et figure du Parti […]