Le constructeur automobile français a annoncé, mardi 15 janvier, que 7 500 postes seraient supprimés en France d’ici à 2016. Pas de licenciements secs au programme, mais une généralisation de son système de préretraite à tous ses salariés. De quoi faire grincer des dents l’opposition qui n’a pas tardé à ouvrir le feu sur le gouvernement.