Selon Anne Lauvergeon, qui a écrit aux membres du conseil de surveillance d'Areva lundi 12 février, son successeur Luc Oursel aurait reconnu, au cours d'un "tchat" interne, avoir "co-commandité l'entreprise d'espionnage" dont elle fut l'objet. Une conclusion qui paraît bien hâtive, au vu de la réalité de ces échanges dont L'Usine Nouvelle a pu prendre connaissance.