A la fin de l’année, Rhodia Acetow ne produira plus de câbles d’acétate de cellulose (destinés au fabriquant de cigarettes) dans l’une de ses deux usines au Venezuela. Cette décision n’a rien à voir avec la politique d’expropriations d’entreprises étrangères menée par Hugo Chavez. Il s’agit de réduction de coûts. En revanche le second site de production du chimiste français dans ce pays, spécialisé dans la silice précipitée, continuera à tourner à plein régime.