L’accord conclu le 4 mai dernier à Astana, au Kazakhstan, par les pays garants, la Russie, l’Iran et la Turquie, pour créer des zones de désescalade des tensions en Syrie, est « une première étape prometteuse », a déclaré lundi l’Envoyé spécial du Secrétaire général pour la Syrie, Staffan de Mistura, devant le Conseil de sécurité.