Statu quo. François Gabart a endigué l’hémorragie de milles concédés à son dauphin dans le pot au noir. Avec une dizaine d’heures d’avance, le skipper de MACIF est dans une situation éminemment favorable, mais se refuse à chanter victoire trop tôt. Si la course n’est pas terminée, les solitaires ont, d’ores et déjà, des raisons très diverses d’apprécier ce qu’ils ont laissé dans leur sillage.