Renault, un scandale à 11 millions d’euros

La facture sera salée. Les trois cadres licenciés à tort dans le faux scandale d’espionnage chez Renault réclament au constructeur des dommages pour préjudice moral de 2,4 à 3,5 millions d’euros. C’est ce que révèle une enquête de Marianne à paraître samedi. Par ailleurs, Europe 1 s’est procuré deux rapports montrant à quel point le service de sécurité de Renault était un « Etat dans l’Etat » qui rendait compte directement à Carlos Ghosn ou Patrick Pelata, sans passer par le service juridique ou le secrétaire général.

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