Conséquence de la fausse affaire d’espionnage qui a touché Renault en ce début d’année 2011, Patrice Pélata n’est plus le numéro 2 du constructeur automobile depuis avril dernier. Son remplacement reste encore à préciser aujourd’hui. Et l’Etat français, actionnaire à 15%, semble espérer maintenant un changement clair au sein du groupe.